Selon lui, cette décision vise à mettre un terme, sinon d'éradiquer la spéculation et les trafics de tout genre qui se font autour du sang, ''vu qu'il y avait une disparité de coût entre le public et celui des édifices privés". À en croire le porte-parole du gouvernement, cela devrait permettre de renforcer les capacités de production de sang des différentes structures du Centre National de Transfusion Sanguine (CNTS), afin de couvrir de façon entière les besoins qui sont estimés à 250.000 unités de poche de sang par an en Côte d'Ivoire. Le pays enregistre un déficit de 40% de produits sanguins.
Source: Abidjan.net