Selon lui, cette régression est due à l’amélioration de la prise en charge correcte des cas de paludisme simple avant leur aggravation, réduisant ainsi le risque létal chez les patients dans les centres de santé dans la communauté et dans le privé. D’autres facteurs tels, l’augmentation progressive de la prise en charge de plus de cas de paludisme simple dans la communauté et les consultations foraines dans les districts sanitaires à forte endémicité justifient cette baisse du taux de mortalité.
Source : Abidjan.net