Pour ces entreprises incriminées, le président ivoirien a fait observer qu'il y a eu une gravité de dysfonctionnement qui exige au-delà des mesures correctives déjà prises à l'encontre des premiers dirigeants sociaux concernés, la mise en place d'un cadre renforcé de suivi. Il a ordonné un meilleur suivi, un bilan de gouvernance des entreprises publiques et à la fin de chaque exercice comptable, une communication en Conseil des ministres sur le bilan de gouvernance de ces entreprises.
Source : APA