Un an après l’attaque armée de Grand-Bassam, le taux de remplissage des hôtels a chuté de 40 à 15%, « un coup dur pour les hôteliers et restaurateurs qui ne sont « pas encore rétablis de cette blessure ». L’économie de Grand-Bassam qui repose sur le tourisme a pris un coup, pendant les six mois d’inactivité des restaurateurs et hôteliers. « Du 13 mars, jusqu’en décembre 2016, on n’a pas travaillé, c’est maintenant que l’activité est en train de se réveiller, et on a un taux d’occupation autour de 15 à 20% aujourd’hui, précise un hotelier. « La situation étant devenue difficile à un moment donné », une dizaine de restaurants et hôtels qui n’ont pu tenir ont fermé. Aujourd’hui, les hôteliers « vivent des séminaires touristiques » qui se sont développés à Bassam, après l’attaque. Le gouvernement a dégagé un fonds de 200.millions pour les opérateurs économiques touchés par le drame.
Source : Connection Ivoirienne
Un an après l’attaque armée de Grand-Bassam, le taux de remplissage des hôtels a chuté de 40 à 15%, « un coup dur pour les hôteliers et restaurateurs qui ne sont « pas encore rétablis de cette blessure ». L’économie de Grand-Bassam qui repose sur le tourisme a pris un coup, pendant les six mois d’inactivité des restaurateurs et hôteliers. « Du 13 mars, jusqu’en décembre 2016, on n’a pas travaillé, c’est maintenant que l’activité est en train de se réveiller, et on a un taux d’occupation autour de 15 à 20% aujourd’hui, précise un hotelier. « La situation étant devenue difficile à un moment donné », une dizaine de restaurants et hôtels qui n’ont pu tenir ont fermé. Aujourd’hui, les hôteliers « vivent des séminaires touristiques » qui se sont développés à Bassam, après l’attaque. Le gouvernement a dégagé un fonds de 200.millions pour les opérateurs économiques touchés par le drame.