Le prix du pétrole grimpe, il est à son plus haut niveau de l’année. Cette flambée des prix est la conséquence de l’offensive des islamistes sunnites en Irak. Hier, mercredi, le ministre irakien du pétrole, Abdul Karim Luaibi, à la sortie de la réunion semestrielle de l’Opep (Organisation des pays exportateurs de pétrole) à Vienne, a rassuré que les infrastructures d’exportation sont «très sûres». Mieux, la production irakienne ne paraît pas menacée dans son ensemble mais les marchés sont agités. Le baril de Brent oscille entre 105 et 111 dollars, dans un marché jusqu’à présent plus stable que les années précédentes.