Le Ghana et la Côte d’Ivoire se sont engagés à respecter la frontière maritime tracée par le Tribunal international du droit de la mer (TIDM) pour régler un contentieux entre les deux pays sur des réserves d'hydrocarbures offshore. Selon le TIDM, le Ghana n’a pas violé les droits souverains de la Côte d’Ivoire, comme ce dernier pays l’affirmait. Abidjan considérait avoir un droit exclusif d’exploitation des hydrocarbures dans une zone offshore disputée. Le tribunal international a calculé le tracé de la frontière maritime en utilisant le principe de l’équidistance défendu par le Ghana et cette carte s’impose désormais aux deux parties.