Le gouvernement de Côte d’Ivoire, procède, depuis le 14 juin, à la répression des contrevenants au décret d’interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun.
Selon un communiqué du Ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, transmis à APA, après la campagne de sensibilisation sur la mesure d’application du décret n° 2012-980 du 10 octobre 2012 portant interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun, ledit ministère « procède depuis le samedi 14 juin 2014 à la phase de répression ».
«Une dizaine de bars, restaurants et autres espaces publics ont reçu la visite inopinée de la police sanitaire brandissant des convocations aux espaces contrevenants », précise le communiqué.
Les contrevenants à cette mesure s’exposent à des sanctions pécuniaires allant «de 15 000 à 100 000 FCFA pour le fumeur» et de 50 000 à 250 000 FCFA pour les «propriétaires et/ou responsables des lieux publics et des transports en commun» avec une possibilité de «fermeture pure et simple de ces lieux» souligne le décret.
Selon l’OMS, chaque année, plus de plus de 5 000 décès sont liés au tabac en Côte d’Ivoire.
Charif Kojok
18/06/2014
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Interdiction de fumer dans les lieux publics : Les bars et restaurants contrôlés
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Le gouvernement de Côte d’Ivoire, procède, depuis le 14 juin, à la répression des contrevenants au décret d’interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun.
Selon un communiqué du Ministère de la Santé et de la lutte contre le Sida, transmis à APA, après la campagne de sensibilisation sur la mesure d’application du décret n° 2012-980 du 10 octobre 2012 portant interdiction de fumer dans les lieux publics et les transports en commun, ledit ministère « procède depuis le samedi 14 juin 2014 à la phase de répression ».
«Une dizaine de bars, restaurants et autres espaces publics ont reçu la visite inopinée de la police sanitaire brandissant des convocations aux espaces contrevenants », précise le communiqué.
Les contrevenants à cette mesure s’exposent à des sanctions pécuniaires allant «de 15 000 à 100 000 FCFA pour le fumeur» et de 50 000 à 250 000 FCFA pour les «propriétaires et/ou responsables des lieux publics et des transports en commun» avec une possibilité de «fermeture pure et simple de ces lieux» souligne le décret.
Selon l’OMS, chaque année, plus de plus de 5 000 décès sont liés au tabac en Côte d’Ivoire.
Charif Kojok