Le panel rassemblait plusieurs personnalités qui ont partagé leurs expériences sur les politiques et pratiques qui ont échoué et celles qui ont fait leurs preuves en matière de création de grandes entreprises en Afrique.
On y retrouvait entre autres Jean Philippe Prosper, vice-président de la Société financière internationale (SFI) pour l’Afrique subsaharienne, l’Amérique latine et les Caraïbes et Sidi Ould Tah, ministre des Affaires économiques et du Développement de Mauritanie, rapporte une note.
Pour le vice-président de la SFI, «actuellement, l’Afrique ne compte pas assez de grandes entreprises pour accroître les possibilités d’emplois et satisfaire l’énorme demande de travail sur le continent ; cela représente un immense défi social qui relève de la responsabilité de tous et de chacun», a-t-il déclaré. Toutefois, le financier y voit quelques motifs de satisfaction.
Le Babi